Passé? Présent? Futur? (Harley)

Harley, ce prénom me plaisait définitivement beaucoup, tout comme celle qui le portait d’ailleurs, mais ça elle n’en savait rien… Comment une simple soirée où je cherchais quelqu’un à tuer avait pu se transformer en rencontre ?. Le destin… Je ne savais pas qu’il frappait aussi les gens maléfiques, enfin pas dans le bon sens je voulais dire. Il faudrait peut-être que je l’appelle un de ces jours pour savoir pourquoi elle m’avait rendu service à moi ! Je suis Luka Mitchell Halliwell, le second descendant le plus maléfique de la famille et le destin m’envois la femme de ma vie sur un plateau… Ironique comme situation mais vraiment pas dérangeante. La douce et exécrable Harley dans les bras, j’apparus dans son salon. Heureusement, car j’avais beau être fort, porter une femme à bout de bras n’était pas de tout repos. Je la déposais donc sur le canapé présent dans la pièce et commençait à regarder tout autour de moi, ce n’était pas mal comme appartement, mais un peu plus rustique que chez moi… Pourquoi n’utilisait-elle pas ses pouvoirs pour tuer des riches et avoir plus d’argent ? Enfin bon, il fallait que je m’occupe un peu d’elle surtout que…

« OH NON !!!! »

Alors que j’avais les yeux tournés pour regarder tous les recoins de l’appartement je n’avais pas remarqué que la belle c’était tourné sur le côté et avait vomi sur le sol… Me voilà obligé de faire le ménage maintenant, surtout que l’odeur commençait vraiment à me donner envie de faire la même chose. Il fallait que je trouve le nécessaire… Cela allait être un peu plus compliqué ! Heureusement dans les toilettes je trouvais mon bonheur. Une fois le sol nettoyé je voulus grâce à un peu d’alcool que j’avais trouvé dans la salle de bain, nettoyer la plaie qu’elle avait sur le visage mais l’odeur de vomi était encore sur elle. Prenant sur moi je pris de nouveau dans mes bras la sorcière pour l’amener jusqu’à la douche. Je ne pouvais pas la doucher habillé, en revanche je pouvais la doucher en sous-vêtement… Certes j’étais maléfique mais bon, elle m’intéressait alors si elle apprenait que je l’avais mise nue j’allais être dans de beaux draps… J’enlevais donc son haut lentement découvrant ainsi un soutient gorge magnifique et une poitrine très bien formé… Arrivé au bas je fis tout aussi doucement tombant cette fois sur un string assortit au soutient gorge et à des jambes d’une longueur infinie… Avalant difficilement ma salive j’allumais l’eau de la douche pour la mettre à une température normale, j’enlevais alors mon haut et me mis sous la douche avec elle ayant gardé mon bas de tenue de boulot. Je lui lavais les cheveux doucement prenant soin à ne pas laisser de savon, je lui frottais le corps en ne passant pas trop sur les seuls habits qui lui restait, puis je la rinçait, étant moi même trempé. Je la sortis de la douche et l’enroula dans une serviette. La portant délicatement je la déposais sur le canapé et pris de nouveau l’alcool. L’odeur était presque partie, il ne restait que son halène qui elle était toujours bien chargée !! Mettant de l’alcool sur un mouchoir je commençais à tapoter sa joue, cela faisait déjà 2 bonnes heures que nous étions chez elle, il devait être bientôt l’heure du petit déjeuner… Je ne pensais pas qu’elle se réveillerait aussi tôt, peut-être la brûlure du fait que je désinfecte sa joue, mais en tout cas mon corps se bloqua lorsque d’un seul coup ses deux yeux s’ouvrirent en grand, moi torse nu, trempé en train de lui soigner la joue et elle en sous vêtement enroulé dans une serviette sur son canapé chez elle…

Que c'était il passé durant toute cette soirée qui n'avait été pour moi qu'une grande farce où toute mon existence semblait tourner autours d'un seul et unique homme. Il avait réduit en néant toutes traces de sympathie de ma part en bafouant mon jumeau tout en faisant passer au passage par diverses émotions que je ne voulais plis éprouver. Seulement le destin en avait décidé autrement à mon plus grand regret …. Bon d'accord je n'étais pas aussi malheureuse que je voulais le faire croire mais je n'avais pas le droit d'être heureuse seule ou avec quelqu'un. Il était mort à cause de ma faiblesse et pour cette seule et unique raison je devais tout m'interdire. Le destin … Père parlait toujours de lui avec une grande croyance pour lui tout était déjà écrit d'avance pourtant lorsque les parques frappèrent à sa porte pour lui enlever son fils il renia toutes ses croyances pour devenir un homme aigrie et encore plus refermé sur lui même et manque de chance de lui, il avait eut la jumelle non voulue portrait craché de sa défunte femme pour seule famille à présent. Aussi horrible que cela puisse paraître de la part d'un de ses parents mais j'étais persuadé que mon père n'aurait eut aucun remord à me sacrifier pour Ethan et dans un sens je ne pouvais lui en vouloir car tel était mon souhait aussi. Sauf que c'était lui qui était parti ce jour là pour une raison encore inconnue ! Une vengeance ? Non Ethan n'était pas le genre de personne dont le souhait était de faire souffrir toutes personnes qu'il côtoyait à ma différence. Il faisait attention aux autres, chose qui m'était impossible. Mais là n'était pas la question car pour la première fois de ma vie je me sentais bien. Je me trouvais dans mon appartement tranquillement assisse dans mon canapé le regard perdu dans l'horizon alors qu'un léger sourire se dessinait sur mon visage. Cette personne ne me ressemblait à rien avec ces traits tirés par le bonheur. Une voix se fit entendre et je ne pus retenir une mine surprise face à la personne qui entrait dans la pièce. Je me levais alors en titubant légèrement pour courir dans les bras de mon jumeau qui m'attrapa en vol tout en levant les yeux au ciel. Des larmes ne tardèrent pas à couler le long de mes joues alors que mon rire se faisait entendre. Malheureusement mon rêve se transforma vite en cauchemar (… bon d'accord pas trop …), levant les yeux pour croiser le regard sombre que j'aimais tant de mon frère je poussais un cri de surprise alors qu'Ethan avait laissé place à l'Halliwell qui m'exaspérait au plus au point. Ses bras me lâchèrent alors qu'une de ses mains venait se poser doucement sur mon ventre avec tendresse. Baissant le regard cette fois un cri suraigu sortit de ma bouche devant le ventre bondé qui était mien. Et là ce fut la chute libre, tout devint noir autour de moi et d'un coup j'ouvris les yeux.

Je me trouvais dans mon canapé et je reconnaissais les murs de mon appartement minable qui était mien. J'aurais était soulagé si ma bête noire ne se retrouvait pas au dessus de moi torse nu. Je retins ma respiration tout en refermant les yeux dans l'espoir que ma vision n'était que la suite de mon rêve des plus tordus. Rouvrant les yeux j'écarquillais les yeux alors qu'une goutte d'eau venait s'écraser sur ma joue. Et entendre tous les sentiments qui me traversaient en ce moment ce fut la rage qui prit le dessus. Posant une main sur son torse mouillé je le poussais pour me pousser sur le côté. J'étais bien trop folle de rage pour admirer sa musculature des plus avantageuse. Me dandinant, mes fesses ne tardèrent à toucher le sol alors qu'une douleur légère se faisait sentir. Je me relevais aussitôt sans faire attention à la serviette qui m'entourait qui tomba sur le sol tout en dévoilant de nombreuses parties de mon corps. Mais je m'en moquais car en sous vêtement ou non l'inconnu en prendre plein la figure.

HARLEY - « Non mais ça va dans votre tête ! Faut se faire soigner, c'est grave là ! »

Par réflexe je portais ma main à ma joue meurtrie pour laisser mes doigts gouter la fraicheur de celle-ci. Sentant quelque chose d'inhabituel je portais les portais rapidement à mon nez alors qu'une grimace se dessinait sur mon visage. Pourquoi avait il fait ça ? Pourquoi avait il prit le risque de me soigner et surtout que faisions nous dans MON appartement alors que quelques minutes plus tôt nous étions au commissariat. Mes sourcils se froncèrent alors qu'un mal de crane commençait à battre ma tempe droite. Je n'arrivais pas à comprendre ce qui avait le don de m'énerver encore plus. Je m'exclamais sèchement.

HARLEY - « Assis ! Je veux des explications ? La seule chose qui me permet de ne pas te virer de chez moi en morceaux ! »

Là c'était sûr j'allais en prendre pour mon matricule. Je restais figé le bout de tissus m'aidant à désinfecter sa joue dans la main je la regardais revenir à elle beaucoup plus vite que je ne l'imaginais. Elle était magique, c'était la seule explication possible à cette rapidité à décuver! Elle me regarda longuement puis alors que je m'éloignais tout en me relevant elle se releva d'un bon laissant ainsi tomber la serviette qui la couvrait. Elle était maintenant en sous vêtements devant moi... Je l'entendais hurler, mais en réalité je ne l'écoutais pas, j'étais désespérément en train de me dire dans ma tête qu'il ne fallait pas que je craque si proche du but... Elle était maléfique, elle était belle, il fallait que je me reprenne et que je ne lui saute pas dessus violemment maintenant. Oui j'étais un monstre depuis que ma mère était devenue maléfique, c'était ma tante qui m'avait tout appris, j'étais le mal incarné et j'étais près à tuer n'importe quoi et surtout n'importe qui... Mais là il fallait que je redeviennes le gentil Luka, celui qui écoute, qui est patient et surtout qui ne saute pas sur la première fille presque nue qui se met devant lui. Je voulais l'envoyer bouler, mais non il fallait que j'écoute ce qu'elle avait à me dire et ce fut lorsqu'elle recommença à parler que mon cerveau se reconnecta à la réalité. Elle m'ordonnait de m'asseoir et de lui donner des explications, apparemment c'était seulement pour cela qu'elle ne m'avait pas encore viré de chez elle, cette annonce me fit sourire. Pensait-elle réellement pouvoir me virer d'ici de ses petites mains fragiles? Ou alors avec ses pauvres petits pouvoirs... Levant les yeux au ciel, je me pliais quand même à ses exigences et m'assit sur le canapé où elle était un peu plus tôt. Je me mis alors à lui dire tout en regardant vers la fenêtre comme si j'étais passablement gêné (ce qui n'était pas du tout le ca,s au contraire) :

« Dans cette tenue je serais près à répondre à n'importe laquelle de tes questions Harley... Que veux-tu savoir? Pourquoi sommes nous ici? J'aurais pu te laisser sur un trottoir vu ton accoutrement et ton état d'alcoolémie, mais il m'a semblait plus juste, surtout après que tu ai vomi, de te ramener ici afin de te mettre au chaud. Je t'ai donc lavé sans regarder, je suis inspecteur, je sais désarmer une bombe avec une pince à épilé dans le noir alors pour déshabiller une fille c'est de la rigolade sans regarder... Et là j'étais en train de soigner ta blessure, mais apparemment je ne suis pas le bienvenue, si mes explications te conviennes je me feras un plaisir de partir, même si la vue n'est vraiment pas désagréable ici... »

Lorsque j'avais commencé à parler de la vue mes yeux c'étaient automatiquement dirigés vers le corps splendide de miss Lane. Comment une vipère pouvait avoir un corps pareil... En réalité c'était à mes yeux, la femme parfaite, elle avait essayé de me tuer, m'avait insulté et pourtant j'étais accro!!! Cela me changeait d'Avery, cette blondinette stupide avec qui j'étais avant de devenir le Luka que j'étais aujourd'hui... Ma mère devrait adoré cette brunette et ma tante... Il faudrait peut être que j'organise une rencontre si notre semblant de relation évolue... Ayant compris qu'elle avait une soif de vengeance, je pense qu'elle pourrait être un atout utile pour notre soif de pouvoir familiale... Bon maintenant il suffisait juste d'attendre pour savoir si je pouvait encore rester ici ou si la sorcière allait me mettre dehors à sa façon comme elle avait l'air de penser pouvoir le faire...

Mon dieu que ce type pouvait me taper sur le système avec son sourire au coin séducteur et pourtant si irritable pour mes petits yeux sensibles. J'étais chez moi et il était dans mon appartement alors pour une fois la personne qui allait commander c'était moi et non lui. Et de toute façon vu le regard qu'il me lançait je n'aurais surement pas la chance d'utiliser la violence. Jouer de mon corps était une chose aisé surtout lorsque mes formes plaisaient autant à un homme autant en profiter. Par le passé j'avais toujours user de mes « charmes » pour arriver à mes fins du moins plus jeune j'utilisais mon regard de chien battu et mon sourire pour avoir tout ce dont je désirais. J'arrivais même à faire craquer Ethan pour qu'ils m'accompagnent le soir dans les soirées organisées la plupart du temps par les joueurs de l'équipe de football du lycée. Car oui à l'époque la jeune fille naïve que j'étais, avait une place de marque le lycée. Capitaine des cheerleader, que ces mots sonnaient doucement à mes oreilles. J'aimais le pouvoir que j'avais sur les autres. Qu'est ce que j'aimais voir les petites nouvelles arrivées pour devenir mes nouvelles esclaves de l'année tout ça pour une place dans mon équipe ! A cette idée un sourire se dessina sur mes lèvres alors que mon regard venait à se reposer sur le jeune homme qui prenait place sur mon canapé avec un large sourire comme toujours. Mon euphorie passé, les traits de mon visage se tendirent pour devenir à nouveau impassible. Il n'était plus question de jouer à présent surtout que sa présence devenait de plus en dangereuse pour moi. Après tout j'étais humaine et voir un jeune homme aussi fait torse nu sur mon canapé était une vision des plus savoureuses. Je fermais les yeux un instant avant de les détourner pour regarder par la fenêtre. Je devais me changer les idées alors qu'une bouffée de chaleur me faisait suffoquer en silence. Et ce fut à cet instant que sa voix se fit entendre, suave et envoutante à croire que mes hormones me jouaient encore des tours. Alors comme ça il m'était venu en aide alors que j'étais dans un état pitoyable. Au moins j'avais une explication à mon trou de mémoire à propos de mon passage de la salle d'interrogation à mon appartement. Sa réplique à propos du fait qu'il m'avait déshabiller sans regarder me fit légèrement sourire. Comme si une bombe et une femme étaient identiques. Je levais les yeux au soleil alors que ses paroles revenaient sans cesse dans mon esprit. Venait il de dire mon prénom ! Il m'avait bien appeler Harley ! Le rouge commença à me monter aux joues pas de gêne mais de rage. Sans attendre je me dirigerais vers mon sac pour mettre ma main dedans sans ménagement. Et ce fut sans surprise que mes doigts effleurèrent mon portefeuille dans la poche centrale alors que j'avais l'habitude de le mettre en permanence dans la poche droite sur le côté. Me retournant je faisais quelques pas vers lui tout en croisant au passage mes bras sur mes hanches.

HARLEY - « On t'a jamais dit que fouiller dans le sac du femme était déplorable ! »

Ce ne fut qu'en cet instant que la sensation de ma peau dénudée sous mes bras croisés devint gênante pour ma personne. Soupirant je pris la direction de ma chambre tout en me retournant à chaque pas pour voir s'il n'avait pas bouger. Je pris soin de ne pas fermer entièrement la porte pour garder un œil sur lui juste où cas ou. J'avais le choix entre plusieurs nuisettes, les provocantes en dentelle et soie, ou bien celle en coton que je resservais pour les soir de déprime seule mais pour ce soir mon choix se porta sur une nuisette noire sobre mais qui tomber avec grâce sur mes formes. Rapidement j'entrouvris la porte sans faire attention à ma force alors qu'un bruit sourd se faisait entendre. Sans en faire attention je me dirigeais vers la petite cuisine qui était mienne pour attraper un doliprane et un verre d'eau. Car même si je semblais en forme, mon mal de crâne n'avait pas diminué au contraire même. Mais devant lui, il était hors de question que je sois à nouveau faible, une fois était amplement suffisante ! J'aurais tout donné pour me retrouver dans mes draps dans un noir total ! La lumière me brulait les yeux pourtant malgré toute la douleur que cela m'inspirait je les garder grandement ouverte comme si de rien n'était. Reportant mon attention sur lui, je m'accoudais sur la banque qui séparait la cuisine aussi petite soit elle du salon/salle à manger.

HARLEY - « Bon qu'est ce que tu veux ! »

Je savais très bien qu'il attendait quelque chose de ma part. Une reconnaissance ? Un remerciement ? Savait il seulement que même sur mon lit de mort jamais je ne lui dirais de tel mot ! Et surtout sa présence dans mon appartement en était la preuve. J'attendais avec impatience sa réponse avec un soupçon de peur mais aussi d'excitation. Le jeu n'était pas prêt de finir et la lueur similaire à la mienne dans son regard n'annonçait rien de bien.

Sujet: Re: Passé? Présent? Futur? (Harley) Mer 20 Oct 2010 - 14:05

Aucun stress, juste des envies, je ne vous ferais pas de grand discourt ni de grande explications sur celles-ci je pense que vous comprendrez pourquoi… Elle était si envoutante, non Luka pense à quelque chose d’horrible… Léa en sous vêtement en plein milieu de mon appartement… Oh oui cette vision avait été très utile je n’avais vraiment plus envie de rien là. Ce fut la voix douce et surtout énervé d’Harley qui me ramena à la scène se passant à l’instant présent. Elle n’était pas contente, elle venait d’aller voir dans son sac et j’avais du faire une erreur en remettant ses papiers à l’intérieur. En effet, elle me cria dessus en me demandant si on ne m’avait jamais dit que fouiller dans le sac d’une femme n’était pas forcément le bien venue… Souriant je levais les épaules tout en penchant ma tête sur le côté et d’une voix plus que suave je me mis à rajouter :

« Et mentir, on ne t’a jamais dis que c’était déplorable? Surtout à un agent de l’ordre… »

Je rajoutais un clin d’œil tout en la suivant du regard. Elle partit dans sa chambre, enfin je supposais que c’était bien sa chambre puisque lorsqu’elle ouvrit j’eu le temps de voir un lit avant qu’elle ne referme la porte rapidement. Qu’allait-elle faire ? Se cacher ? Hurler ? Sortir une arme qui allait me tuer en quelques secondes ? Ce fut lorsque j’entendis des bruits que je remarquais qu’elle n’avait pas totalement fermé la porte, elle m’observait, avait-elle peur que je parte ? J’aurais bien voulu lui dire qu’il n’y avait aucun risque mais je préférais ne pas aggraver mon cas, j’étais déjà plus que content de toujours être présent chez elle et qu’elle ne m’ait pas foutu dehors comme un mal propre. Elle ressortit de la chambre vêtue d’une nuisette noire toute simple mais qui mettait encore plus ses formes en valeurs que lorsqu’elle était simplement en sous vêtements. Elle partit vers le coin cuisine, prit une sorte de cachet puis reportant son entière attention sur moi elle s’appuya sur l’espèce de bar qui sépare le coin cuisine du salon en me demandant ce que je voulais exactement. Par quoi je devais commencer ? Elle ? Son envie de vengeance ? Ses pouvoirs ? Tout… Cela allait être compliqué pour répondre à cette question, je choisis donc de lui demander :

« Si ce n’est pas trop te demander j’aimerais seulement un merci ou un geste qui pourrait signifier merci… et un verre d’eau… »

Je savais qu’elle ne voudrait jamais me remercier, mais je pouvais toujours tenter cette approche pour l’avoir elle… Une relation était-elle possible entre elle et moi ? J’aimerais que la réponse soit oui, mais cela ne dépendant plus de moi maintenant, c’était plutôt elle qui était sur la défensive, le plus beau cadeau qu’elle pourrait me faire serait de baisser cette barrière qui nous empêche d’avancer… Ensuite nous pourrons parler affaire, mais j’aime faire passer le plaisir avant…